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Affichage des articles du novembre, 2017

Une couronne à Marie

A petits pas, Dans le silence On est venu vers toi. Dans le silence,   Le joyau des lyonnais on t’a pris Dans le silence ta couronne est partie. A petits pas Nous venons à toi Toi notre Dame de Fourvière Toi notre mère nourricière A petits pas et avec nos petites mains Avec le cœur et l’esprit Nous venons déposer devant toi Une nouvelle couronne, de vers cette fois-ci. Du fond du cœur, nous t’apportons nos mots Nous te présentons nos prières Et nous te remercions d’avoir toujours dit « Oui » A notre ville que tu chéris. A petits pas et dans le silence Nous te prions Marie Apprends-nous l’Amour Celui de ton Fils, Jésus le Christ. Et en ce jour, Marie, Où nous nous souvenons de ta Conception Immaculée, Garde-nous sous ton manteau étoilé Et si nos petits pas, nous entraînent loin de l’Amour du Père Rappelle-nous comment revenir sur le chemin Que tu nous as toujours montré. Amen Wafa, 16 novembre 2017

Au revoir papa

Les larmes coulent Sur mes joues, elles perlent Dans ma bouche, elles tombent le goût du sel elles laissent Le sel de la terre La terre est poussière et à la poussière ton corps retourne Toi mon père de la Terre Tu pars rejoindre mère Au Ciel je l’espère Je prie pour, à chaque instant du jour Que la Miséricorde Divine te soit offerte Au revoir mon père Que Dieu Le Père T’accueille à bras ouverts Je connais ta générosité Et j’ai confiance en Sa Bonté Il n’oublie pas ses enfants Je vais prier pour toi papa Et que maman et toi soyez à nouveau unis Dans le Royaume Eternel. Amen

Papa : « Ne pleure pas si tu m'aimes »

Papa, Youssef, vient de nous quitter pour un monde meilleur... Merci de l'accompagner avec vos prières. Ses enfants Wafa et Al-Walid et leurs familles. La Prière « Ne pleure pas si tu m'aimes » de Saint Augustin : « Ne pleure pas si tu m'aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel. Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d'eux. Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent. Quoi, tu m'as vu, tu m'as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ! Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient et, quand un jour que Dieu connaît et qu'il a fixé, ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédée la mienne, ce jour-l